Quelques vers
Il tient entre ses mains un bidon vide de rhum,
Et fait autant de peine qu’un bidonville de Roms
Le concert bat son plein, digère le garçon plein
Ses yeux cherchent la lune, trouvent biture et bitume.
Le sol n’est pas droit, et tout bouge de haut en bas
Sa conscience lui murmure tout bas: « Ne m’en veux pas,
Je pars au bois, avec le p’tit Litron de Rouge. »
Comparer l’Campari ou l’calvaire du Calva
(« Y’aurait pas de la pomme ? ») il n’est plus le même homme,
Depuis que tous les chemins le ramènent au rhum.